Lois entreprises 2025 : nouvelles réglementations à connaître

Lois entreprises 2025 : nouvelles réglementations à connaître

L’année 2025 s’annonce pleine de bouleversements pour les entreprises françaises. Une série de mesures s’apprête à redéfinir les règles du jeu : le calendrier fiscal change, de nouveaux dispositifs de partage de la valeur émergent, et les réformes sociales se multiplient. Les dirigeants peuvent vite se sentir dépassés face à cet afflux réglementaire.

Cela soulève une question : comment anticiper ces évolutions sans y consacrer tout son temps ? L’objectif ici : rendre compréhensibles les principales modifications qui s’invitent dans la gestion quotidienne des sociétés. Grâce à une explication claire, chaque responsable peut s’adapter, éviter les pièges et saisir les opportunités offertes par ces nouvelles règles.

Report de la suppression de la CVAE et création d’une contribution supplémentaire

La disparition de la Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE), souvent annoncée mais toujours différée, vient de subir un nouveau report. Initialement annoncée pour 2027, la suppression de la CVAE n’interviendra finalement qu’en 2030. Ce délai prolonge le maintien des taux d’imposition de 2024 pour les années 2025, 2026 et 2027.

À partir de 2028 et jusqu’en 2029, une baisse progressive du taux d’imposition sur la CVAE est prévue. Ce jeu de calendrier fiscal s’accompagne d’une nouveauté peu réjouissante : la création pour 2025 d’une contribution complémentaire à la CVAE au taux de 47,4 %.

Cerise sur le gâteau, cette contribution fait l’objet d’un acompte unique à régler à 100 % avant le 15 septembre 2025. De quoi complexifier la gestion de trésorerie, en particulier pour les PME, qui devront faire face à un prélèvement conséquent à la rentrée.

Principaux impacts pour les entreprises

  • Report de la suppression : désormais prévue pour 2030, au lieu de 2027
  • Stabilité des taux pour 2025-2027 (identiques à ceux de 2024)
  • Contribution additionnelle en 2025 : taux de 47,4 %, paiement en un seul acompte annuel
  • Échéance fixée au 15 septembre 2025, ce qui pèse particulièrement sur les trésoreries fragiles

L’ensemble de ces mesures risque de compliquer la rentrée financière de nombreuses sociétés, transformant la promesse de simplification fiscale en un nouveau casse-tête administratif.

Révision des dispositifs de crédits d’impôt pour les entreprises

Le Crédit d’Impôt Recherche (CIR) subit des modifications notables dès 2025. Plusieurs dépenses, auparavant considérées comme éligibles, disparaissent du dispositif : adieu la prise en compte des brevets, de la veille technologique ainsi que du doublement des frais liés aux jeunes docteurs. Par ailleurs, le taux forfaitaire des dépenses de fonctionnement est abaissé de 43 % à 40 %. Ce recul représente un manque à gagner pour de nombreuses startups qui misaient sur ce soutien pour développer leur innovation.

Impact sur le Crédit d’Impôt Innovation et le secteur textile

Le Crédit d’Impôt Innovation (CII) est effectivement prolongé jusqu’au 31 décembre 2027. Cependant, le taux d’aide passe de 30 % à 20 %, réduisant sensiblement l’avantage pour les PME innovantes. Côté secteur textile, le Crédit d’Impôt Nouvelle Collection bénéficie d’une extension jusqu’à fin 2027, offrant un soutien spécifique alors que d’autres secteurs voient leurs bénéfices amputés.

Ces ajustements obligeront de nombreuses entreprises innovantes à repenser leur stratégie de financement et à ajuster leurs projets. Les arbitrages budgétaires deviennent inévitables dans un contexte où l’innovation dépend fortement de la stabilité des dispositifs financiers.

Impact sur les budgets R&D

La réduction des crédits d’impôt risque de limiter la capacité des entreprises à financer leurs activités de recherche et développement, notamment dans les secteurs technologiques de pointe. Lors du Forum Éco-Entreprises consacré aux tendances Cleantech, plusieurs dirigeants ont exprimé leurs inquiétudes face à cette situation.

Les sociétés devront développer de nouvelles stratégies d’innovation pour compenser la diminution du soutien fiscal. Cette adaptation exigera davantage de ressources internes ou la recherche de financements alternatifs, ce qui pourrait ralentir le rythme des avancées technologiques.

Adaptations stratégiques des entreprises

Pour préserver leur compétitivité, les entreprises envisagent :

  • La priorisation des projets à forte valeur ajoutée.
  • Le renforcement de partenariats avec des centres de recherche ou des universités.
  • L’optimisation des coûts afin de maintenir une part significative du budget dédiée à l’innovation.

Ce contexte impose un nouvel équilibre où l’ingéniosité des équipes R&D jouera un rôle central dans la continuité des investissements technologiques.

Nouvelles mesures fiscales pour les grandes entreprises

Une contribution exceptionnelle sur les bénéfices

Les entreprises françaises de grande taille voient leurs bénéfices soumis à une contribution exceptionnelle dès le premier exercice clos à partir du 31 décembre 2025. Deux taux s’appliquent :

  • 20,6 % pour celles dont le chiffre d’affaires est compris entre 1 et 3 milliards d’euros.
  • 41,2 % si le chiffre d’affaires dépasse les 3 milliards d’euros.

Cette mesure va nettement amoindrir les profits des plus grands groupes.

Limitation du report des déficits

Un nouveau plafond limite la possibilité de reporter les déficits fiscaux : la fraction du déficit excédant 2,5 milliards d’euros pour 2025 ne pourra plus être reportée sur les exercices suivants. Cette restriction ajoute un casse-tête supplémentaire aux directions financières.

Taxe sur les rachats d’actions

Pour les entreprises dont le chiffre d’affaires dépasse le milliard d’euros, toute réduction de capital issue d’un rachat d’actions sera désormais frappée d’une taxe de 8 %. Cette mesure cible une pratique répandue parmi les groupes cotés du CAC40 et vise à rendre ce mécanisme plus coûteux, encourageant ainsi la réaffectation des capitaux vers d’autres usages que la rémunération des actionnaires.

Prolongation des exonérations fiscales dans les zones prioritaires

Le législateur a décidé de prolonger plusieurs régimes d’exonération fiscale ciblant les territoires jugés prioritaires. Les entreprises situées dans les Bassins d’Emploi à Redynamiser (BER) peuvent ainsi bénéficier d’exonérations jusqu’au 31 décembre 2027. Concernant les Zones Franches Urbaines-Territoires Entrepreneurs (ZFU-TE) ainsi que les Quartiers Prioritaires de la Politique de la Ville (QPV), les avantages octroyés sont désormais étendus jusqu’à la fin de l’année 2025.

Le dispositif France Ruralités Revitalisation (ZFRR) connaît également une évolution : il inclut désormais d’anciennes communes précédemment classées en Zone de Revitalisation Rurale, offrant une couverture plus large.

Les effets concrets pour les entreprises concernées

Ces mesures apportent une vraie bouffée d’oxygène aux entreprises implantées dans ces secteurs souvent délaissés, leur permettant de profiter d’une exonération d’impôt sur les bénéfices ainsi que de la contribution foncière et de la taxe foncière. Ce soutien fiscal peut représenter le facteur déterminant entre maintien de l’activité et développement.

Néanmoins, la complexité administrative attachée à l’obtention de ces avantages reste un obstacle majeur à leur diffusion optimale. De nombreuses structures, notamment en région Auvergne-Rhône-Alpes, soulignent leur utilité mais peinent à s’y retrouver parmi les démarches exigées.

Nouvelles règles sur la TVA et la certification des logiciels de caisse

À partir du 1er mars 2025, le seuil de franchise en base de TVA sera drastiquement réduit : il passe à 25 000 € pour le seuil de base et à 27 500 € pour le seuil majoré. Cette modification concerne l’ensemble des activités professionnelles. Cependant, son application est temporairement repoussée au 1er juin 2025 pour permettre un dialogue avec les professionnels impactés.

Un nouveau régime déclaratif pour la TVA, mensuel ou trimestriel, prendra effet dès le 1er janvier 2027.

Du côté des solutions d’encaissement, l’évolution est nette : dorénavant, la simple attestation de l’éditeur ne suffira plus. Seul un certificat délivré par un organisme accrédité sera accepté pour les logiciels de caisse. Ce changement met un terme aux démarches administratives plus souples et impose des contrôles renforcés pour plus de fiabilité.

Conséquences immédiates pour les auto-entrepreneurs et TPE

La récente réforme de la TVA va bouleverser le quotidien de nombreux auto-entrepreneurs et très petites entreprises. Jusque-là, la franchise en base de TVA permettait de simplifier la gestion comptable pour ces structures. Avec l’abaissement du seuil de franchise à 25 000 €, l’application d’un seuil unique, et l’introduction prochaine d’obligations déclaratives renforcées, l’entrée dans le régime de TVA se fera désormais plus rapidement et impliquera plusieurs changements majeurs.

  • Les seuils de franchise sont abaissés à 25 000 €.
  • Un seul et même seuil s’appliquera à tous les secteurs d’activité.
  • La suspension de la mise en œuvre de cette mesure s’étendra jusqu’au 1er juin 2025.
  • Dès 2027, les déclarations de TVA devront être mensuelles ou trimestrielles.
  • Les logiciels de caisse devront être certifiés par un organisme accrédité pour garantir la conformité.

Impacts sur la gestion des petites entreprises

Les indépendants devront composer avec une complexité administrative accrue, car le passage anticipé à la TVA multiplie les démarches et les obligations. Cette évolution aura des conséquences sur la trésorerie, du fait de la nécessité d’avancer la TVA collectée sur les ventes.

Pour les TPE utilisant encore des solutions manuelles, il sera impératif de s’équiper de logiciels certifiés afin d’éviter tout risque de sanction. Anticiper ces nouvelles règles permet de réduire le stress lié à la gestion quotidienne et de protéger l’activité contre de potentielles pénalités administratives.

Extension du versement mobilité aux territoires régionaux

Le versement mobilité, auparavant limité aux environnements urbains, s’applique désormais aux territoires régionaux hors Île-de-France. Ce prélèvement, plafonné à 0,15% des rémunérations soumises aux cotisations sociales, est destiné au financement des transports publics en région.

Pour une PME de 50 salariés avec une masse salariale de 2 millions d’euros, cela se traduit par un coût supplémentaire annuel de 3 000 €. L’impact pour les grandes entreprises, disposant de plusieurs centaines de salariés, sera d’autant plus significatif sur leur budget.

Cette généralisation relance la question de l’équité territoriale : des sociétés situées en zone rurale — souvent peu desservies par les transports collectifs — se voient soumises à la même contribution que celles placées à proximité des réseaux urbains performants. Ainsi, les charges supportées par les entreprises peuvent varier fortement selon leur implantation géographique et leur effectif.

Mesures incitatives pour les transports écologiques en entreprise

La prolongation de l’exonération sociale et fiscale jusqu’en 2025 permet aux employeurs de prendre en charge jusqu’à 75% des frais de transport public de leurs salariés — bien au-delà des 50% habituellement requis. Cette disposition encourage directement l’usage des transports collectifs, et s’avère intéressante pour les entreprises qui souhaitent améliorer leur image tout en offrant un avantage salarial attractif.

Nouvelle fiscalité pour les grandes flottes automobiles

Les sociétés disposant d’une flotte d’au moins 100 véhicules sont désormais concernées par une taxe incitative, destinée à favoriser l’achat de véhicules propres. Ce dispositif met la pression sur les grandes entreprises, car la non-conformité à cette nouvelle norme peut engendrer des charges fiscales nettement plus lourdes.

Autres avantages fiscaux liés à l’écoconduite

  • Réduction d’impôt accordée lors de l’installation de bornes de recharge électrique sur site, idéale pour accompagner l’électrification progressive des parcs.
  • Déductibilité fiscale optimisée pour chaque véhicule émettant moins de 20 g de CO2/km, permettant ainsi de valoriser l’effort des entreprises dans la transition écologique.

Évolution des dispositifs d’apprentissage et de formation professionnelle

L’apprentissage demeure une voie privilégiée d’insertion professionnelle grâce à des ajustements notables pour 2025. Les employeurs devront désormais contribuer au financement des contrats d’apprentissage de niveau 6 (Bac+3) et plus. Cette évolution cherche à impliquer davantage les entreprises recrutant des profils très qualifiés.

Aides financières maintenues et ajustées

Les aides à l’apprentissage restent accessibles, même si les montants sont en légère baisse par rapport aux années précédentes :

  • 6 000 € pour les apprentis en situation de handicap
  • 5 000 € pour les entreprises de moins de 250 salariés
  • 2 000 € pour celles de plus de 250 salariés

Ces incitations financières continuent de représenter un réel soutien pour l’embauche d’apprentis.

Mesures de soutien en période d’incertitude

Un nouveau dispositif, « activité partielle de longue durée rebond », fait son apparition afin d’accompagner les entreprises faisant face à une réduction durable d’activité. Il s’agit d’un filet de sécurité supplémentaire dans une conjoncture économique instable. Cependant, les conditions pour bénéficier de cette mesure restent particulièrement exigeantes selon les premiers avis de responsables RH.

L’adaptation de ces dispositifs révèle la volonté de maintenir l’attractivité de l’apprentissage tout en poussant les entreprises à investir dans la formation des jeunes talents.

Réforme du partage de la valeur dans les PME

De nouvelles obligations de partage pour les petites structures

À compter de 2025, les entreprises de 11 à 49 salariés seront tenues d’instaurer un dispositif de partage de la valeur lorsqu’elles dégagent un bénéfice net fiscal représentant au moins 1% de leur chiffre d’affaires, et ce, sur trois exercices consécutifs.

Trois options sont offertes à ces sociétés pour se conformer :

  • Mettre en place un régime de participation ou d’intéressement ;
  • Alimenter un plan d’épargne salariale ;
  • Attribuer la prime de partage de la valeur.

Cette mesure, qui prendra la forme d’une expérimentation sur cinq ans, vise à favoriser une répartition plus équitable des performances de l’entreprise entre employeur et salariés.

Sanctions et objectifs de la mesure

Les PME qui n’appliqueraient pas l’un de ces dispositifs s’exposent à des sanctions. L’objectif affiché est de renforcer la justice salariale et d’inciter les dirigeants à repenser durablement leur politique de rémunération. Une évaluation de l’impact sera menée pendant toute la durée de l’expérimentation.

Prolongation des avantages sur les pourboires et revalorisation des allocations

La prolongation de l’exonération fiscale et sociale concernant les pourboires, accordée aux salariés de l’hôtellerie-restauration et des services percevant moins de 1,6 SMIC (2 882,88 € brut), est confirmée pour 2025. Cette mesure soutient particulièrement l’attractivité de ces métiers, souvent en tension.

Évolutions des droits pour les aidants familiaux

L’allocation journalière du proche aidant (AJPA) passe désormais à 66 jours d’indemnisation par personne aidée, dans la limite de 264 jours. Cette évolution représente un soutien concret pour les salariés qui s’occupent d’un proche malade ou dépendant.

Revalorisation des pensions de retraite et des indépendants

Les pensions de retraite de base et celles des indépendants bénéficient d’une hausse de 2,2 % au 1er janvier 2025. Même si cette augmentation ne couvre pas entièrement l’inflation, elle offre un soutien additionnel aux retraités ainsi qu’aux anciens travailleurs indépendants.

L’égalité professionnelle progresse dans les entreprises françaises

L’égalité professionnelle poursuit son avancée dans les entreprises de l’Hexagone. Au 1er mars 2025, 80 % des sociétés concernées affichent leur note d’index (une progression par rapport à 77 % en 2024). La note moyenne atteint 88,5/100, montrant une légère amélioration comparée aux 88/100 de l’an passé. Plus significatif encore, 94 % des entreprises obtiennent une note au moins égale à 75/100, dépassant ainsi le seuil réglementaire avec constance.

Pour les entreprises de plus de 1000 salariés, la Loi Rixain impose de nouvelles étapes : 30 % de chaque sexe parmi les cadres dirigeants et membres des instances dirigeantes à atteindre d’ici au 1er mars 2026, puis 40 % au 1er mars 2029. Ces objectifs imposent un rythme soutenu de féminisation des instances de direction aux grands groupes.

Renforcement des obligations en matière d’égalité professionnelle

  • 80 % des entreprises concernées publient leur index d’égalité au 1er mars 2025
  • Note moyenne en hausse : 88,5/100 contre 88/100 en 2024
  • 94 % franchissent le seuil de 75/100, garantissant une certaine homogénéité dans les efforts
  • Objectif légal : 30 % de chaque sexe pour les instances dirigeantes d’ici 2026, et montée à 40 % fixée pour 2029

Ce calendrier serré demande des actions concrètes et rapides, notamment pour renforcer la parité dans les strates les plus hautes des grandes entreprises françaises.

Nouvelle simplification de la TVA pour les travaux de rénovation

Les professionnels du bâtiment bénéficient désormais d’une procédure administrative allégée : l’attestation complexe est remplacée par une simple mention sur le devis ou la facture. Cette évolution concerne les travaux de rénovation ou d’amélioration énergétique réalisés dans des logements achevés depuis plus de deux ans, ouvrant droit aux taux réduits de TVA 5,5 % ou 10 % selon la nature des interventions.

Pour profiter de cette facilité, il est impératif que les artisans inscrivent toutes les mentions obligatoires sur leurs documents commerciaux. Toute omission peut entraîner un redressement fiscal, ce qui impose une vigilance accrue dans la rédaction des devis et factures.

Cette simplification, très attendue par les fédérations professionnelles, vise à faciliter le parcours administratif aussi bien pour les artisans que pour les clients, limitant les démarches chronophages pour les petites entreprises du secteur.

Réforme de l’accompagnement du RSA : nouvelles modalités pour 2025

L’année 2025 annonce des changements majeurs pour les bénéficiaires du RSA, notamment par la mise en place d’un accompagnement renouvelé dès le 1er janvier. Désormais, l’inscription automatique à France Travail (anciennement Pôle Emploi) est systématique, accompagnée d’un parcours individualisé et intensif pour chaque allocataire.

Vers un accompagnement renforcé des bénéficiaires

Chaque personne concernée devra signer un contrat d’engagement précisant ses droits et obligations. Ce nouveau dispositif vise à personnaliser le suivi et à accélérer le retour à l’emploi, tout en posant un cadre plus structurant pour les bénéficiaires du RSA.

Impacts pour les entreprises et l’emploi

Pour les entreprises, la réforme transforme le RSA en un gisement de nouveaux profils à embaucher, notamment dans les secteurs confrontés à un manque de main-d’œuvre. Des mesures d’aide à l’embauche et des avantages fiscaux/sociaux sont prévus pour encourager l’intégration professionnelle des personnes éloignées de l’emploi.

Un débat persistant autour de la conditionnalité

La généralisation de la conditionnalité, à travers la signature obligatoire du contrat, alimente le débat. D’un côté, on soutient l’idée d’une responsabilisation accrue ; de l’autre, certains plaident pour un accompagnement moins strict. Ce nouveau cadre s’inscrit dans une tendance à renforcer la logique de droits/dévoirs dans l’accès aux aides sociales.

Les grandes entreprises et PME face aux lois entreprises 2025

L’environnement fiscal et social évolue pour les grandes entreprises et les PME. Hausse des charges pour les sociétés les plus importantes, nouvelles obligations de partage de la valeur, mais aussi incitations à la transition écologique sont au programme. Ces mesures marquent la volonté de demander aux entreprises d’apporter une contribution accrue aux enjeux sociaux et environnementaux, tout en maintenant une attention sur leur compétitivité économique.

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